Série L’Adultère (Partie 28) : « Vanessa » Ne Prend Pas Un, Mais Deux Amants. Épisode 2/2

Résumé du précédent récit : Après avoir découvert que mon mari m’était infidèle en couchant avec Agnès mon amie d’enfance, j’avais fait l’erreur, pour le récupérer de le rendre jaloux, de m’offrir à Mathieu son meilleur ami qui m’avait absolument comblée. Pendant un mois les rapports avec Grégory mon mari, étaient toujours aussi tendus, nous nous parlions très peu et nous nous disputions pour un oui ou pour un non au sujet de l’éducation de nos s. Malgré cela, je voulais pourtant y croire, nous avions vécu tellement de bonnes choses ensemble que ce serait terrible de nous séparer. J’avais pris conscience de ma naïveté et il semblait rongé par la culpabilité.

Je n’avais plus aucun rapport sexuel avec lui, je mourrais d’envie de revoir Mathieu, j’en avais besoin. D’autant plus qu’il me harcelait par ses nombreux SMS enflammés mais par respect pour mon mari, je continuais à refuser ses avances. Je souffrais terriblement, je désirais tant que Grégory me revienne comme avant, nous avions fait un si long chemin ensemble. Je traversais cette épreuve comme beaucoup de femmes marquées par l’infidélité, cependant je pensais que la longévité de notre couple pouvait le sauver. Néanmoins, dès que j’abordais ce sujet pour lui faire part du mal que je ressentais, il se mettait en colère et disait que je me faisais des idées.

Pourtant une semaine plus tard, ne voyant aucune amélioration, je m’étais mise à le surveiller de près, je voulais savoir s’il revoyait Agnès, alors qu’ils m’avaient juré l’un comme l’autre qu’ils avaient rompu. Néanmoins, j’avais découvert qu’il avait un deuxième compte Facebook où il n’avait qu’un seul ami : Agnès. Là, je m’étais vraiment fâchée et l’avais menacé de le dire à son mari Jérôme, s’il ne fermait pas ce compte. Je le voyais de moins en moins, il trouvait des astuces pour être en contact avec elle. Il se méfiait et ne laissait aucune trace de son infidélité, je pensai alors qu’il ne m’aimait plus alors que moi j’en étais encore amoureuse.



Mathieu m’envoyait toujours des textos ou m’appelait tous les jours au travail, m’expliquant toujours les mêmes choses, que je devais quitter Grégory. Ce fut déjà lui qui m’avait mis sur la voie, sur son deuxième comte Facebook. Cette fois il m’avoua que Grégory se connectait avec son compte en le désactivant juste après avoir parlé à Agnès. Les huit semaines sans rapports sexuels avaient fini par me faire changer d’avis, j’étais retournée chez Mathieu lorsque mon mari était parti rejoindre mon amie.

Ce jour-là, ce fut gigantesque, sexuellement j’avais compris que c’était l’homme, avec un grand H, qu’il me fallait. Dans ses bras j’étais sa chose, il m’avait baisée sauvagement comme une bête dans toutes les positions. J’avais joui plusieurs fois pendant deux heures durant, il était performant et avec lui, je ne pouvais rien lui refuser. Pendant les semaines qui avaient suivies, j’avais tout accepté, il m’avait fait comprendre qu’en matière de sexe rien n’était tabou. Ce que je n’avais jamais fait avec mon mari, je le faisais tout naturellement avec Mathieu.

Lors de nos ébats il m’avait tout appris, des fellations à la sodomie, en passant par des éjaculations faciales ou dans ma bouche. Tout ce qui me répugnait auparavant, j’en étais devenue friande. Si au départ je l’avais fait pour lui faire plaisir, cela m’avait tellement apporté de bien être que je ne pouvais plus m’en passer. Chez-moi, notre couple se désunissait, nous étions devenus qu’un homme et une femme qui élevaient leurs s, nous n’avions plus la complicité d’antan et j’attendais avec impatience les soirs où j’allais retrouver mon amant. Je n’aimais pas Mathieu d’amour avec un grand A, il n’était pour moi qu’un ami mais surtout ma bête de sexe qu’il me fallait et je ne pouvais plus m’en passer.

Huit mois après avoir découvert l’infidélité de mon mari, pendant les congés de Noël, nos s étaient en classe de neige, je me retrouvais seule à la maison, Grégory avait encore trouvé une excuse bidon pour sortir, lorsque j’eus la visite de Jérôme le mari d’Agnès.
Il me demanda si je n’avais pas des doutes sur la fidélité de mon mari car il avait soupçonné sa femme de le tromper avec mon époux. Pour ne pas le vexer, je ne fis pas l’innocente, je me devais de tout lui dévoiler, en répondant naïvement :
— Il la voit encore ? Jamais je ne l’aurais pensé. Écoute, je vais tout te raconter.

Après toutes mes explications, Jérôme était devenu blême, jamais il n’avait trompé sa femme et il était à mille lieues d’imaginer qu’elle lui était infidèle depuis deux ans et demi et de surcroit avec son ami. Sa décision était prise, il allait divorcer et m’avait demandé mon aide. Je regrettais à présent de ne pas être allée lui dire la vérité six mois auparavant. Jérôme n’était pas triste, il était tout simplement en colère après sa femme et déçu par Grégory. Nous étions dans les bras l’un de l’autre comme j’étais avec Mathieu quelques mois plus tôt.

Me croyant affligée, il m’avait prise par le cou et m’embrassa tendrement sur la joue me disant :
— Vanessa, je peux te dire quelque chose ?
— Bien sûr Jérôme, ne te gêne pas nous nous connaissons suffisamment bien, tu ne crois pas ?
— Notre couple n’allait pas bien depuis un bon moment, je me doutais qu’Agnès voyait quelqu’un.
— Et cela te fait rager de savoir que c’est Grégory.
— Pas pour moi Vanessa, pour toi. Je regrette de n’avoir jamais osé te dire que je te désirais. Me dit-il en me serrant un peu plus fort.

Je le sentais sincère, il avait très envie de m’embrasser mais n’osait pas le faire, il avait fallu que j’insiste pour qu’il me dise qu’il pensait à moi lorsqu’il faisait l’amour à sa femme. Jérôme me plaisait physiquement, il était bel homme, attentionné, délicat et très sensible. Mathieu étant parti au ski avec des amis depuis plus d’une semaine, j’avais envie de faire l’amour et j’avais à mes côtés quelqu’un qui me désirait. Je penchai ma tête et ce fut moi qui pris les devants en l’embrassant. Notre baiser sensuel s’éternisait, ses caresses étaient très érotiques, rien de comparable avec mon amant habituel.


Jérôme n’était pas du genre hardi avec une femme, pourtant je ressentais beaucoup de désir dans ses bras. Néanmoins, j’avais envie qu’il soit beaucoup plus entreprenant, je ne désirais pas qu’un flirt, je voulais du sexe comme j’avais pris l’habitude d’avoir avec Mathieu. Je m’étais levée et l’avais entièrement dévêtu et lui avait demandé qu’il en fasse de même avec moi. Il m’effeuilla délicatement, s’était super ! Il me posait des petits baisers sur chaque partie de peau qu’il dénudait au fur et à mesure. Quand il ne me restait plus que mes sous vêtement, il m’enleva mon soutien-gorge et me caressa tendrement les seins et qu’avec sa langue me léchait les aréoles avant de sucer délicatement mes tétons durcis, j’avais ressenti un énorme désir.

Et lorsqu’il finit par mon string, sa bouche avait pris possession de ma chatte qui coulait, après quelques coups de langues et un doigté exceptionnel, j’avais déjà joui comme une folle. À partir de là, ce fut moi qui pris les commandes, j’étais devenue une vraie tigresse. Je m’étais accroupie devant lui et lui avait fait une fellation comme je savais faire. Après l’avoir sucé un long moment, j’aspirais son gland, je savais qu’il ne tiendrait plus longtemps. Lorsqu’il avait voulu se retirer, de mes mains posées sur ses fesses, je le forçai à rester dans ma bouche, il était en extase quand il éjacula au fond de ma gorge.

Cet après-midi-là, Jérôme avait tout connu avec moi, je m’étais littéralement transformée en une véritable salope, pour son plus grand plaisir. Il fut surpris de constater qu’il était beaucoup plus résistant qu’il ne l’avait imaginé. Après lui avoir donné du plaisir avec ma bouche, je désirais qu’il me baise la chatte, j’étais en pleine excitation. Je l’avais installé sur le fauteuil, lui tenant fermement les épaules, je m’étais empalée sur son sexe en donnant le rythme endiablé avec mon bassin, je coulissais ma chatte autour de sa verge qui ne débandait pas.
Mes va et vient n’en finissaient pas, jusqu’à ce que l’on prenne ensemble notre plaisir.

Nous nous étions longuement embrassés puis n’étant pas encore rassasiée, je lui avais accordé un moment de répit. Nous avons pris un café, installée nue sur ses genoux, je faisais tout afin qu’il puisse reprendre de la vigueur. Mes attouchements sur ses couilles et sur son gland avaient commencé à réveiller son sexe, il savait que j’en voulais encore et lui voulait absolument me contenter. Ma bouche avait une fois encore, fait son effet, il bandait de nouveau. Je m’étais couchée sur la table de la cuisine et lui demanda de m’enculer.

Pour lui la sodomie n’était encore qu’un fantasme, il était devenu presque pâle se demandant s’il ne rêvait pas. Mais il comprit lorsque j’écartai mes fesses avec mes mains que je ne blaguais pas. Il ne s’était pas privé, il mouilla ma rondelle étoilée avec sa salive et y glissa un doigt que j’avais avalé aussitôt avant d’y mettre un deuxième. Puis comprenant que ce n’était pas une première pour moi, il enfonça lentement sa verge dans mon anus mais tout en douceur. Ces aller et retour sous ses gémissements, étaient bien trop timides, cet homme était vraiment délicat trop peut-être :
— Encule-moi plus fort Jérôme ! Baise-moi le cul ! Lui avais-je ordonné.

Il venait de me donner un quatrième orgasme lorsqu’il avait éjaculé pour la troisième fois dans mon rectum. Nous venions de baiser pendant deux heures mais nous avons renouvelé ça sous la douche. Cette fois ce fut debout et par derrière que je lui avais demandé de me prendre, il ne pensait pas pouvoir être une nouvelle fois en érection. Mais avec une petite fellation et mon index dans son petit trou, il avait vite repris des couleurs. Lorsque l’eau coulait sur nous, j’avais les mains contre le mur et mes fesses en arrière contre son pénis, il m’avait alors pénétrée et je l’avais laissé mener la danse, pendant dix minutes, il s’était activé à me rendre folle, je venais de jouir deux fois de suite avant qu’il n’éjacule en râlant son bonheur.

Une fois remis de nos émotions, nous nous étions installés au salon où nous avions eu une longue discussion. J’avais appris que huit mois plus tôt, Mathieu lui avait téléphoné afin de lui dire que sa femme se tapait son ami Grégory. Il lui avait dit qu’ils venaient baiser chez lui et qu’il ne le supportait plus. Un mercredi soir, Jérôme était revenu et les avait surpris en train de s’embrasser devant leur maison, il avait alors pris deux photos qui ne laissait aucun doute à leur adultère. À partir de là, il avait attendu que tout s’arrange et qu’Agnès revienne sur le droit chemin mais comme pour moi, Mathieu l’avait une nouvelle fois prévenu que leur infidélité perdurait toujours.

Aujourd’hui, il s’était enfin décidé de rompre définitivement avec Agnès et de divorcer. Comme je ne voyais aucune issue possible, je fis de même, j’allais moi-aussi demander le divorce, il ne servait à rien d’espérer. J’avais téléphoné à Grégory et Jérôme à Agnès afin qu’ils viennent nous rejoindre chez moi, après leur petite partie de jambes en l’air. Tout d’abord, ils furent surpris que leurs conjoints respectifs les reçoivent ensemble pour leur demander qu’elles étaient leurs réelles intentions.

Les choses étaient claires pour eux, leur amour était trop fort, ils n’avaient aucune intention de se séparer et après avoir regardé les deux photos que Jérôme avait sur son portable, ils acceptèrent le divorce à l’amiable. Aujourd’hui, nos deux couples sont divorcés, j’ai conservé la maison et la garde de nos s avec un droit de visite tous les quinze jours pour Grégory. Tandis que Jérôme avait laissé la garde des siens à son ex-femme mais conserva également sa maison avec un droit de visite toutes les week-end. Grégory vit avec Agnès dans un appartement loué en ville.

Après avoir baisé avec Jérôme qui m’avait fait découvrir une autre facette de moi côté sexuel, je prends toujours beaucoup de plaisir à faire l’amour avec lui une fois par semaine en maitrisant la situation. Mathieu qui s’était donné beaucoup de mal pour tout organisé afin que je vienne vivre avec lui, s’était trompé, il continue de vivre seul et je ne suis pas prête à me remettre en couple. Mais je continue de bénéficier de ses moments uniques qu’il me donne, je suis devenue accroc au sexe pur et dur. Mes deux amants m’apportent d’une manière diamétralement opposée, beaucoup de plaisirs. Je vis aujourd’hui totalement libérée et je profite ainsi des instants magiques que la vie m’offre jour après jour.


Chères lectrices et chers lecteurs, j’aimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous.
Si comme Vanessa, vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

Prochain récit Mercredi prochain

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